« A la bourre !!! » Voilà une expression qui me colle de plus en plus à la peau, et d’autant plus en ce qui concerne ce bel espace collectif.
Jeudi dernier, vous avez pu découvrir le Green Swap imaginé par chacune d’entre nous pour égayer l’après-confinement. Mais vous n’y trouverez pas le mien, pourtant si délicatement concocté par #céline, car je me suis emmêlée les pinceaux dans les dates et j’ai raté le coche. Encore.

Aussi pour ce premier billet d’été A l’Ombre du Grand Arbre, ai-je décidée de mettre à l’honneur la belle lecture envoyée, le coup de cœur de cette copinaute, qui m’oblige à prendre le temps, à me poser roman en main.
Les Enfants des Feuillantines est un roman signé Célia Garino paru cette année chez Sarbacane. Sa couverture est à la fois un véritable rayon de soleil avec ce jaune pétant, lumineux, et une invitation mystérieuse avec cette myriade d’animaux en plastique multicolore. Exactement ce qu’il me fallait !

Avec ses 500 pages au compteur, ses courts chapitres et sa bande de héros, sorte de cousinade permanente faute à une famille dysfonctionnelle, le temps semble passer plus lentement, se figer pour ce moment de lecture. Je m’immerge totalement dans le quotidien de cette famille pas comme les autres pour le meilleur comme pour le pire.
Le confinement a été pour moi comme une sorte de parenthèse temporelle : impossible d’être en retard quand on n’a nul part où aller, moins de pression pour tous dans la temporalité à respecter… Et le déconfinement a remis en route l’horloge et l’avancement inarrêtable des aiguilles.
Alors avec ce roman, comme une esquisse des vacances à venir, je prends le temps de savourer ma lecture, de la déguster par petits bouts, de choisir le moment propice à sa délectation.
Un grand merci Céline pour la découverte de cette jolie pépite littéraire (que je vous conseille très fortement) et un mea culpa auprès des arbronautes pour cette ponctualité nécessaire qui me fait si souvent défaut.
Et n’hésitez pas à aller lire quelques pages par ici.







Ces deux là, je les côtoie quasi quotidiennement et je les conseille très souvent aux jeunes lecteurs de la bibliothèque à la recherche de romans drôles. J’ai mis les deux parce que je ne peux pas choisir entre ce chien nigaud et cet espiègle chat. Ces livres-là, je les proposerais très prochainement à Morgan qui aura 7 ans dans quelques semaines. On commencera sûrement par une lecture à deux voix mais peut-être sera-t-il tenté pour poursuivre ces séries en solo !
Je ne saurais pas dire exactement combien de livres de cette série j’ai pu lire enfant, mais on ne doit pas être loin de la cinquantaine. Jeune, j’aimais les histoires qui faisaient peur. Je me souviens avoir dévoré en une soirée plus d’un de ces livres et avoir frissonné au fil des pages. Encore maintenant, j’adore me plonger dans des histoires terrifiantes mais je n’ai jamais retrouvé les sensations que me donnaient les romans de R.L. Stine ! Je ne suis pas certaine que Morgan adhérera à cette série car actuellement les histoires qui font peur, ce n’est pas trop son truc mais je suis obligée d’au moins lui la proposer un jour…






















