Le livre d’où je viens – Sophie

A l’Ombre du grand arbre cet été, on va vous révéler un petit bout de nous, un petit peu de cette sève qui chacun(e) nous anime, un petit de peu de ce feuillage qui nous réunit.

Un brin nostalgique mais tout à fait réjouissant, chacun notre tour, nous allons vous dévoiler le livre qui a changé notre vie ou qui du moins, nous a beaucoup marqué, voire qui nous a donné envie de créer un blog.

Alors, revenez par ici chaque semaine de cet été, et laissez vous nous raconter  :

« Le livre d’où je viens »

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Il y a sûrement plusieurs livres d’où je viens : le premier qu’on m’a lu, le premier que j’ai lu seule, le premier coup de cœur, et tous ceux qui m’ont marquée pour une raison ou pour une autre.

Celui dont j’ai envie de vous parler, c’est celui qui a marqué mon nouveau départ dans la littérature jeunesse. Au départ, la littérature jeunesse, c’était celle qui m’était destinée : on m’a lu beaucoup de livres et j’en ai lu par moi-même beaucoup d’autres quand j’étais enfant puis adolescente. Et puis un jour, je suis passée (furtivement c’est vrai) dans le monde de la littérature pour adultes. Ça a duré quelques mois, quelques années et puis j’ai commencé des études dans le domaine des métiers du livre.

C’est là que j’ai redécouvert la littérature jeunesse, elle avait beaucoup évolué depuis mon enfance et je suis retombée dans les albums et les romans pour ados que je n’ai plus quitté depuis aux dépens des livres pour adulte dans lesquels je ne me retrouve plus.

L’un des premiers livres de cette nouvelle rencontre, ou le premier peut-être, je ne sais plus exactement, en tout cas celui qui m’a marqué, c’est un album de Didier jeunesse. Le machin, un titre singulier qui est devenu mon machin préféré à moi. Pourquoi, il serait difficile de le dire : le texte rythmé à la chute hilarante du grand Stéphane Servant que je prends toujours autant de plaisir à lire dans ses albums comme dans ses romans, les belles illustrations en couture de Cécile Bonbon dont j’admire le talent ? Peu importe…

Une chose est sûre, c’est que ce livre, ce fût mon premier livre jeunesse acheté dans un salon du livre (et pas des moindres puisque c’était à Montreuil) et dédicacé par l’auteur et l’illustratrice, mon premier coup de cœur en tant que future professionnelle des livres, mon premier livre chroniqué sur mon blog (mon article réécrit depuis le premier jet ICI), le premier livre que j’ai lu à mon fils…

Les livres d’où je viens – Bouma

A l’Ombre du grand arbre cet été, on va vous révéler un petit bout de nous, un petit peu de cette sève qui chacun(e) nous anime, un petit de peu de ce feuillage qui nous réunit.

Un brin nostalgique mais tout à fait réjouissant, chacun notre tour, nous allons vous dévoiler le livre qui a changé notre vie ou qui du moins, nous a beaucoup marqué, voire qui nous a donné envie de créer un blog.

Alors, revenez par ici chaque semaine de cet été, et laissez vous nous raconter  :

« Le livre d’où je viens »

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J’ai longtemps cherché quel était LE LIVRE, celui qui a changé ma façon de voir la lecture, celui qui a bercé mon enfance, ou mon adolescence…
J’ai longtemps cherché et n’ai rien trouvé !

Et puis, au détour d’une conversation, il y a quelques jours seulement…
des enfants m’ont presque supplié de convaincre leur mère de les lire…
lire :

Ces romans que j’affectionne particulièrement…
qui développent un univers foisonnant, magique et aventurier ;

Ces romans qui ont chez moi déclenché l’envie de faire mon métier en direction de la jeunesse ;

Ces romans qui ont déjà bercé plusieurs millions de jeunes gens,
qui leur ont donné envie de lire,
de relire des milliers de pages ;

Ces romans qui, depuis la disparition de leur auteur, ont encore pris plus de valeur,
comme une trace certaine dans la construction de la littérature de jeunesse moderne,
comme un symbole de l’envie des adolescents à se passionner pour la lecture ;

Ses romans, ceux de Pierre Bottero,
et en particulier la Quête d’Ewilan, suivi des Mondes d’Ewilan.

Ils sont pour moi l’eau qui a fait éclore ma passion pour la littérature de jeunesse.

Alors, très chère Pépita, je me joins à tes enfants, LIT PIERRE BOTTERO !

Le livre d’où je viens – Nathan

Comme mes acolytes, choisir le livre dont je vais vous parler a été difficile. C’était une évidence pourtant : j’allais vous parler de Tobie Lolness de Timothée de Fombelle. Et s’il y a un seul livre que je devais conserver, ce serait sans aucun doute celui-ci … ô petit Tobie qui m’a embarqué dans ses palpitantes aventures dans l’Arbre … sans jamais me laisser en repartir. Un seul millimètre et demi à l’origine de toute une histoire de lecture, d’écriture, de rencontres et d’amitié. J’aurais aussi pu, étonnamment, vous parler de la Bible mais plus particulièrement de la Genèse. Parce que nous venons tous de ce livre. Mais ce n’est pas l’endroit approprié, d’autant plus que je ne l’ai pas réellement lu. D’autant plus que j’aurais dû parler de choses dont je ne veux pas (encore ?) parler (ici).

Toujours est-il qu’en vous disant tout ça je triche. Et que je triche encore en vous avouant que je ne vais donc pas vous parler du livre d’où je viens … mais du livre où je v(a)is.

Ce livre n’a pas encore de titre. Il n’a pas encore d’éditeur. Mais en aura-t-il un un jour ? Existera-t-il seulement véritablement un jour ? J’y crois en tout cas. Son auteur ? C’est moi. Le livre dont je veux vous parler est le livre que j’essaye d’écrire.

Ce n’est pas du tout prétentieux, en tout cas j’espère ne pas donner cette impression. Seulement, puisque nous parlons toujours de lecture dans ce petit coin d’ombre … j’ai eu envie de parler d’écriture. Saviez-vous que 17% des français avaient un manuscrit terminé ? Or nous connaissons tous la dure réalité : très (très) peu de manuscrits sont acceptés par les éditeurs (d’où le développement de l’autoédition). Je sais aussi qu’à l’ombre du grand arbre, je ne suis pas le seul à écrire … aussi ai-je choisi de vous parler de ce livre qui n’existe pas encore, mais qui se crée petit à petit, doucement, alors que vous en lisez tant d’autres.

C’est le livre où je vis, parce qu’il vit, évolue et grandit avec moi depuis 2 ans. 2 années qui ont passé et pendant lesquelles j’ai pensé, réfléchi et muri ce projet. Je ne me suis pourtant pas contenté de cela. J’ai inscrit quelques mots par-là. D’autres ici. J’ai dû en perdre en route. Mais alors que la précédente idée, inaboutie, qui voudra peut-être être terminée un jour, n’était encore que l’expression d’une envie d’écrire, de raconter une histoire et d’être lu ; cette nouvelle histoire qui continue de naître entre mes doigts d’écrivain en herbe est profondément ancrée en moi.

J’ai compris qu’un livre ne raconte pas seulement une histoire. Il en raconte des dizaines, des centaines, voire des milliers ou des millions. Il y a son intrigue, qui a été le départ de tout. Mais après, il y a les idées que l’on veut glisser derrière, aussi chacun des passages de mon futur roman semblent vouloir prendre une signification. Puis il y a l’histoire que chacun des lecteurs se raconte en lisant un roman. Que chacun se racontera si, un jour, mon roman trouve un public.

Enfin, il y a tout ce que ce j’écris, ce que je raconte sur moi sans même m’en rendre compte. J’ai écrit. Passionnément, avec l’irrépressible besoin d’aller jusque-là où je pouvais aller. D’aller jusqu’à une scène clé où tout bascule. Puis je me suis retrouvé bloqué. Et j’ai compris que je ne pouvais pas me lancer à corps perdu dans l’écriture sans avoir d’abord préparé tout cela. Et j’ai surtout compris que cette scène clé, décisive pour un de mes personnages, avait été pour moi le moyen totalement inconscient d’extérioriser une part de moi-même que je ne me suis révélée qu’après. Quel superbe moment que celui où l’écrivain devient son propre personnage.

J’ai peut-être un peu triché en vous parlant non pas du roman d’où je viens, mais de celui où je vais. Mais il est plus qu’un simple projet créatif, il se construit avec moi et je me construis aussi avec lui. L’acte d’écriture dépasse le simple fait de créer et, pour moi, dépasse celui même de lire.

Pourtant, je ne nierai pas le fait qu’écrire m’apporte beaucoup en tant que lecteur. Cela me rappelle à chaque instant qu’un bon roman doit être profond, qu’un bon roman ne raconte pas seulement une histoire mais qu’il raconte aussi au lecteur son histoire … et c’est pour ça que certaines lectures nous touchent plus que d’autres.

N’oubliez jamais, en lisant cet été, que chacune de vos lectures doit être sincère. Laissez les livres vous en apprendre toujours plus sur vous … et si l’envie vous en vient, écrivez. L’écriture ouvre les portes de la liberté et de la connaissance de soi.

Les livres d’où je viens – Sophie

A l’Ombre du grand arbre cet été, on va vous révéler un petit bout de nous, un petit peu de cette sève qui chacun(e) nous anime, un petit de peu de ce feuillage qui nous réunit.

Un brin nostalgique mais tout à fait réjouissant, chacun notre tour, nous allons vous dévoiler le livre qui a changé notre vie ou qui du moins, nous a beaucoup marqué, voire qui nous a donné envie de créer un blog.

Alors, revenez par ici chaque semaine de cet été, et laissez vous nous raconter  :

« Le livre d’où je viens »

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La découverte des pages et des mots est profondément attachée pour moi aux lettres. Comme celles de l’alphabet, qui étaient affichées sur les murs de la classe, accompagnées de dessins. Alors voici un…

Abécédaire de mes premières lectures, ou de celles qui ont marqué mon enfance.

Bibliothèque rose ou verte. Celle de la commune aussi, premiers choix d’albums et de romans.

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Chenille. La Chenille qui fait des trous d’ Eric Carle. Je la suivais, amusée, fascinée, éblouie par les couleurs des motifs et les pages poinçonnées.

Désolée, j’ai un trou de mémoire : j’ai oublié le premier livre que j’ai lu !

Ecole des Loisirs. Une collection de livres, à la jaquette blanc crème, que je convoitais quand mes parents m’emmenaient dans une librairie. Je me rappelle entre autres Baby-sitter blues de Marie-Aude Murail.

il-ne-faut-pasFaut pas ! Il ne faut pas habiller les animaux (de Judi et Ron Barrett). Une liste désopilante de situations embarrassantes pour la poule, le kangourou, le morse ou la chauve-souris. Ce petit album sur fond vert pomme me faisait tordre de rire.

Grenier. Non pas un livre, mais un lieu où, au milieu des valises, de piles de magazines et des matelas, je m’installais dans la chaleur douillette pour lire sous les combles.

Houhouhou ! hululait l’imposant hibou vert sur la couverture de l’album en carton Hiboux, poissons, souris et compagnie (de Giorgio Vanetti).

Inspecteur à suivre. Quand la lecture se mêle au jeu… J’adorais ces livres « dont vous êtes le héros », comme Le mystère de la Caméra et la bande des quatre, de Martin Waddell.

J‘aime Lire. Pour toutes les belles histoires que j’y ai découvertes. Et les tranches qui laissaient apparaître un motif quand tous les numéros de l’année étaient bien rangés sur mes étagères.

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K. Le K de Dino Buzzati. Un recueil de nouvelles qui a marqué mes années de lycée. Des textes qui me transportaient vers d’autres horizons et me faisaient frissonner.

Luc et Caroline. Ma méthode de lecture s’intitulait Le petit monde de Luc et Caroline  (par J. Moscan). Je me rappelle des phrases simples, où les nouvelles lettres à retenir apparaissaient en couleurs.

Moi, ma grand-mère… de Pef (un dessinateur et « imagicien » qui m’a fait découvrir une ribambelle de jeux de mots et une fantaisie verbale sans limites). Une grand-mère qui apprend à nager aux baleines, devient pilote d’essai ou cosmonaute. Un album qui avait de quoi développer l’imagination !

51L7yr3SPgL._SL500_AA300_Neuvième art. Mes lectures d’enfance, ce sont aussi des cases et des bulles, choisies dans la collection de la bibliothèque paternelle : Astérix, Tintin, Quick et Flupke,

Ombre. Lectures à l’ombre des grands arbres du jardin, sur une chaise longue ou sous un abri de fougères dans la forêt voisine.

Pêle-mêle. Comme j’ai pu m’amuser avec ces livres animés qui associaient de façon incongrue et cocasse des têtes, des torses et des jambes ! Dans mes pérégrinations sur le web pour tenter de trouver l’album de mon enfance, je suis tombée sur un bel exemple de pêle-mêle en ligne : http://www.bibliotheque.toulouse.fr/PELE-MELE-livresPopup.html

Quand je pense aux livres de mon enfance… je me dis qu’il manque les histoires écoutées sur radiocassette. Comme le Roman de Renart, lu par Philippe Noiret. Que d’après-midi passées à rêvasser en écoutant les mauvais tours de ce vilain goupil.

Recette de cuisine. 250 grammes de farine, 100 g de beurre, un œuf, 100 grammes de sucre, 50 grammes de raisins secs. Cette recette de scones aux raisins me vient d’un livre qui a aussi accompagné mon enfance : Les petits cuisiniers (publié par Unicef). Avec autant de gourmandise, je plongeais les mains dans la farine et le nez dans les livres.

Ségur. Je me souviens d’une vieille édition de poche des Malheurs de Sophie.

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Tibet. Comme ce grand livre, illustré par d’énigmatiques aquarelles, Contes du Tibet et d’autres pays d’Extrême Orient, que ma mère nous lisait au bord du lit, et qui délivrait des leçons de sagesse sur le monde ou nous emportait dans d’incroyables périples au sommet de mystérieuses montagnes.

Ungerer. Ce petit album aux trois inquiétantes silhouettes dans le bleu de la nuit. Une de mes premières trouvailles à la bibliothèque du village : Les Trois brigands. Un graphisme qui donnait envie d’entrer dans le repaire des brigands, de s’émerveiller devant leur trésor et de contempler le village étrangement chapeauté de l’histoire.

Voiture. Un autre lieu de prédilection pour lire pendant des heures, à l’occasion des voyages en famille. Les écouteurs du walkman vissés sur les oreilles, je lisais même dans la pénombre, jusqu’à ce que les lettres disparaissent totalement dans l’obscurité.

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Willy Wonka. Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl. Quel univers magique ! Je me rappelle avoir fait la lecture de ce roman à ma sœur pendant tout un été.

X. La multiplication. C’était le titre d’un petit livre pop-up, peuplé de clowns, pour apprendre les multiplications. Beaucoup plus rigolo que les tables du cahier de brouillon !

Yoko Tsuno. Une héroïne de BD dont les aventures me faisaient rêver.

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Zola. Parmi les livres d’où je viens, je n’oublierai pas les romans de Zola. Vaste monde : de La Terre au Bonheur des Dames, en passant par Le Ventre de Paris, ce sont bien là mes premières amours de littérature.

Le livre d’où je viens – Carole

A l’Ombre du grand arbre cet été, on va vous révéler un petit bout de nous, un petit peu de cette sève qui chacun(e) nous anime, un petit de peu de ce feuillage qui nous réunit.

Un brin nostalgique mais tout à fait réjouissant, chacun notre tour, nous allons vous dévoiler le livre qui a changé notre vie ou qui du moins, nous a beaucoup marqué, voire qui nous a donné envie de créer un blog.

Alors, revenez par ici chaque semaine de cet été, et laissez vous nous raconter  :

« Le livre d’où je viens »

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J’aurais pu vous reparler de Max et les Maximonstres de Maurice Sendak avec lequel j’ai appris à lire, ou bien du chef d’oeuvre de Laclos, Les Liaisons Dangereuses, qui m’a ouvert les portes de la Grande Littérature, ou encore de Adieu Gary Cooper de Romain Gary, mon auteur d’amour. Mais non ! J’ai choisi de vous parler d’un roman ado qui a changé ma vie et qui est surtout à l’origine de mon blog 3 étoiles. Il s’agit de Metal Melody de Maryvonne Rippert, paru en 2010 chez Macadam, Milan.

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C’est au détour du rayon ado de ma médiathèque que ce livre m’a attirée. Irrésistiblement. Comme le papillon de la couverture. Et le titre comme un aimant.

La 4ème de couverture parcourue. C’est l’histoire d’une ado, Luce, qui trouve une lettre de sa mère partie prétextant un voyage en Australie pour son travail. Quatre mois sans nouvelle. La jeune fille découvre l’indépendance et la liberté sur fond musical rock’n’roll métal. Passée l’euphorie des premiers jours de liberté, les questions vont s’enchaîner : pourquoi ? où est-elle vraiment ? que faire ?

Une relation mère-fille compliquée, de la musique, les affres de l’adolescence, un premier amoureux au doux prénom, Esteban, un voyage initiatique en Andalousie, des guitares qui pleurent, du flamenco, le soleil, les rencontres humaines marquantes, une histoire de vie révélée, et une jeune fille qui grandit. Il n’en fallait pas moins pour me convaincre. Je suis partie avec ce roman, je l’ai lu d’une traite. Une fois, deux fois, dans le même weekend.

Je suis tombée en amour pour cette Luce, (ou bien Luz), et j’ai adoré le style, le ton et l’écriture de son auteure. Tout en intensité, tout en authenticité. Un vraie découverte qui marque. Et qui m’a donnée envie d’ouvrir un blog consacré à la littérature jeunesse. Pour partager mes lectures, pour mettre humblement un peu de lumière sur certains livres, pour donner envie à d’autres de les lire. La suite, vous la connaissez sûrement…

Et puis, il y a eu ma rencontre avec Maryvonne Rippert au Salon de Montreuil en 2012. Moment émouvant pour moi. Et une jolie dédicace dans mon exemplaire que je garde précieusement. Depuis j’ai lu d’autres romans de cette auteure, et je vous conseille d’en faire autant.

Enfin, ce roman a nourri en moi le rêve de découvrir l’Andalousie, et plus particulièrement Grenade et l’Alhambra. C’est chose faite depuis avril dernier. Pour l’occasion, j’avais emporté mon livre afin de refaire le voyage avec Luce pour de vrai !

1491696_10152227385589822_8438465706819702763_nMetal Melody a reçu plus d’une dizaine de prix dont celui des Incos en 2012 dans la catégorie 3ème/2nde.

Parfois, on a la chance de lire un livre qui marque plus que d’autres. Et qui déclenche une avalanche de jolies choses. Et pour ça, merci Madame Rippert.